Veste polysémique ( ? - mais si !)
Rien à voir, mais pour le plaisir (écoutez l'album entier - et le reste aussi -):
Donc, bonjour !
La 27 du livre 5 ! Pour les initiées, bien sûr ! pour les autres, une veste triangulaire, peut-être de femme enceinte - nous
appellerons cela le syndrome de la japono-couturade.
Alors, verdict : mort à la fronce ! y'en a marre de ces vêtements qui nous font passer pour les sœurs des frères Montgolfier ! J'annonce solennellement que ma prochaine réalisation sera fronce-free et pli-creux-free.
Parce que c'est certes bien confortable, mais il est temps de mettre en valeur ces courbes si spécifiques à notre anatomie hivernale, j'ai nommé : les bourrelets disgracieux issus des deux raclettes de la semaine passée. Arrêtons la politique de l'autruche, cousons près du corps, des combinaisons en latex et autres vêtements fétichistes (sans illustration, non mais oh, on raccole soft...).
Bon, je dérive. Revenons à cette 27 !
Les difficultés / the difficulties/ las difficultades / as difficultacaoes (hum hum) :
- Parmenture : J'avais eu de nombreux conseils sur la façon de faire la parmenture, et en effet, c'était un vrai moment de bonheur. Sauf que quand la parmenture sus-citée, ronde de surcroit, doit coincer un morceau de tissu, au niveau du col, ça devient plus problématique. Solution : réaliser la parmenture complète, repasser pour bien marquer le pli, découdre la partie basse, insérer le tissus à coincer dedans, recoudre. Y'a sûrement plus simple !
- Les fronces-plis creux : j'ai transformé les fronces en plis creux. C'est chouette et marrant à faire, mais trop de largeur dans le tissu et donc de gros plis qui auraient mérité d'être affinés. D'autant que le col-parmenture est très étroit, court, et qu'il faut froncer à outrance pour s'y retrouver. Conseil : penser à faire le col-parmenture plus long.
- Avec tout ça, je me suis retrouvée avec une veste un peu style soutane pas très sexy. D'où les deux poches plaquées, pas forcément une bonne idée, mais qui casse le look religieuse-chasseur...
Oups, d'ailleurs me voilà dans le jardin...
A l'attaque !!! BONSAÏ !!!
Et en bonus, cette fois, de circonstance, c'est pour vous donner le goût (je ne m'en lasse pas...) :
Allez, schüss los amishos, et à bientôt !